Collectif tous acteurs de notre ville, septembre 2018 :
A la suite du passage de Tristan Rechid, un groupe d’habitants se décide à lancer un cycle de cafés citoyens.
En reprenant le slogan de Tristan « le politique c’est l’habitant », a émergé l’idée de stimuler les énergies dans la ville, de bien dire que ce cycle existe parce qu’il va y avoir des élections en 2020.

peut-être que ça manquait de fun ?
Ça fait penser aux Trotskistes qui pensaient qu’il ne fallait pas prendre de plaisir, pas se montrer en couple, pas perdre ses forces vives dans des balivernes.
Mais les gens ne lisent pas, prétextent la fatigue, évitent les débats.
Tout ce qu’on propose au conseil ne passera jamais.
Il faudrait recommencer avec plus de gens. En fait, l’accueil des gens était plutôt intéressé, et y mettre plus de courage.
Ce qu’a fait Cyprien avec les marches dans les endroits critiques, c’était très pédagogique.
Ça vaut la peine de recommencer dans 6 ans, mais d’ici là… Les gens, à quarante ans, ont d’autres choses comme centre d’intérêt aujourd’hui. Le groupe, il y a pas mal de retraités, et aujourd’hui ça s’est réduit à un tout petit noyau orienté sur le conseil municipal.
Les émotions émergent, plaisir, intelligence, énergie, dynamisme, mais il reste peut-être une carence dans la façon dont on décide. Le consentement, ce n’est pas simple. Il faut bien se positionner sur des idées.
En ce moment, en Birmanie, ceux qui essayent de promouvoir la liberté vont être laminés, la population ne les suit pas, le gouvernement militaire centralise tout.