ODJ :
– Que fait on des recettes de Curieuses Démocratie ?
– Se pose la question du financement de La Bascule Quelques lignes rouges ont été indiquées avec La Bascule. Les réunions sur La Bascule devraient être indiquées par mail, et préparées à l’avance. C’est un sujet mis au centre
– Marseille: le collectif Marseille en commun de Sébastien Barles, assez politisé (plutôt vert): 1er juin les états généraux de la démocratie locale: on y va? Comment?
– Cercle Raison d’être : Philippe propose que ce cercle s’appelle “Textes fondamentaux et veille HQD” Attention, parle-t-on de veille interne ou externe ? Quelle est la mission des veilleurs ? Est-ce par exemple de s’assurer que tout est bien transparent en financement Autre exemple : Alerte veille sur le communiqué de presse qui n’énonçait pas suffisamment clairement notre raison d’être pour le festival de Toulouse.
– Travail réalisé sur le label : crée-t-on un cercle de travail sur le sujet ? Création d’un cercle Label à durée limitée (septembre), pour utiliser le label Nous avons besoin d’un feed back sur l’utilisation de ce label.
– “Représentation” du collectif à l’extérieur et celle de nos valeurs communes.
– Point sur le pacte pour la transition
Recettes Curieuses démocraties
Festival de Toulouse : environ 1 000 euros de bénéfices.
Réunion du cercle rencontres le 8 mai : quelle répartition avec le collectif Job ? moitié-moitié ? quelle part affectée au défraiement des trajets ? quelle part affectée à la trésorerie pour le montage des futurs festivals ?
Expliquer au collectif local le processus et que la moitié (si validée) revenant à LBD servira à l’organisation des futurs festivals.
Point connexe sur les questions financières : quid de l’ouverture du compte et du choix d’une banque éthique ? A priori, le Crédit coopératif serait la plus éthique. Envisager la possibilité de recourir aux services de la Banque postale. Nancy doit prospecter auprès de plusieurs banques : Crédit coopératif et la Banque postale. Elle fera un retour sur avantages et inconvénients.
Financement de la Bascule
L’initiative s’est montée très vite. Think tank citoyen autour de la transition et de son accompagnement, notamment démocratique au niveau local.
Question posée par Christian lors du cercle de coopération de Toulouse de savoir d’où viennent les financements pour savoir de quelle manière LBD peut s’y investir en tant que partenaire à part entière.
Didier s’est rendu sur place. Matériel fourni par Emmaüs. Problème éthique sur le financement que Démocratie ouverte peut aller chercher, en particulier dans l’optique des municipales de 2020, y compris auprès de grands groupes. Didier a proposé que le partenariat puisse prendre la forme d’un partage des données autour des initiatives impulsées et/ou accompagnées par LBD.
Il est intéressant de suivre au sein de LBD ce qui se passe dans le cadre du projet de La Bascule, qui est à la fois flou et foisonnant, sans formaliser pour autant un partenariat avec La Bascule.
Philippe précise qu’il s’agit de promouvoir une stratégie d’ensemble autour du municipalisme et des prochaines élections municipales et donc, à ce titre, être attentif aux travaux et aux réflexions menés par La Bascule. Philippe propose de travailler à la lisibilité de cette stratégie, qui s’élabore au sein de nombreuses structures. Yannick suggère que LBD pourrait faciliter la mise en relation des différents acteurs avec, par exemple, l’objectif de mettre l’ensemble des partenaires concernés autour de la table à l’horizon du mois de septembre. Didier précise que LBD est clairement identifiée au sein de l’écosystème municipaliste.
Créer un groupe spécifique qui réfléchirait à cette question ?
Marseille en commun
Initiative portée par Sébastien Barles (EELV). LBD apparaît dans le pré-programme. Quelle place LBD peut occuper : venir présenter ses idées, ses principes et ses valeurs, au risque peut-être d’être instrumentalisés, aller au-delà et s’engager au côté de Marseille en commun dans la perspective des prochaines municipales. LBD doit-il prendre part à cette initiative et, si oui, à quel niveau ?
L’affichage semble clair : forum ouvert à tous sur les questions de citoyenneté au niveau local.
LBD peut intervenir en tant qu’invité mais pas en tant que co-organisateur. Dina s’y rendra, éventuellement accompagnée de Yannick et/ou Philippe et/ou François.
Cercle raison d’être
La dénomination du cercle n’est pas forcément une priorité, le cercle n’étant pas actif actuellement.
Création d’un cercle label, posé à Toulouse. Le label doit-il être un support de fond ou, au contraire, être mis en avant et au service des listes qui souhaitent se présenter en 2020 ? Beaucoup des personnes présentes à Toulouse ont insisté sur l’intérêt d’utiliser le label en tant qu’instrument de communication mais également comme outil permettant d’objectiver un certain nombre de critères atteints ou à atteindre (cf. travail réalisé par Bruno). Le label parle à beaucoup de gens ; il convient de l’affiner et de l’améliorer, en lien avec les personnes qui ont pris part au codev de Toulouse.
Sur la base du travail réalisé par Bruno, lancer le cercle temporaire acté à Toulouse, limité dans le temps pour servir de support aux listes municipales de 2020. Ce cercle aurait vocation à perdurer au-delà des élections de l’année prochaine.
Distinguer les deux dimensions : Curieuses démocraties, d’un côté, ouverte à tous, et Rencontres nationales qui, à partir de la question du label, réfléchiraient à une stratégie commune en vue des élections de 2020, à partir des listes qui souhaitent se présenter en s’appuyant sur les principes édictés dans le label LBD.
Représentation du collectif à l’extérieur
Question importante. Confiance des uns envers les autres pour représenter LBD à l’extérieur.
Pacte sur la transition
Isabelle s’est positionnée en tant que relais sur le territoire. Didier explique qu’il s’agit d’une démarche intéressante en même temps qu’assez brouillonne pour l’heure. Les rencontrer.
Réunion à venir du cercle rencontres (8 mai).
Programme prévisionnel :
22 et 23 juin : Seyne-les-Alpes
14 et 15 septembre : Langres
16 et 17 novembre : St-André-lès-Lille
Remarque : projet off à Marseille en novembre pour une journée hybride Fearless Cities / Curieuses démocraties, coordonné par Utopia.